Someday [PV;Raiser]

Tous était calme, le soleil déclinait lentement, laissant place a son alter ego, les animaux noctures sortaient de leur phase léthargique, le cauchemar des rongeurs commençaient. De loin, tous paraissait calme, mais ce ne l'était pas. Raiser Dream était là, seul, le regard perdu. Il ne comprenait pas et ne comprendrait surment jamais. Sa belle innoncence, il était entrain de la perdre avec ses plus belle année de poulain, a deux mois, ont aurait dit qu'il en avait six, oui, sa vie prenait un tournant de changement irréparable. Deux sillions salé coulaient le long de son chanfrein, il en avait marre, marre de ne pas comprendre, marre d'être entouré, mais de se sentir seul tous de même... Il secoua rangeusement la tête, faisant voler sa mince crinière, peu a peu il changeait... pas pour le mieux hélas ! Raise ne savait pas comment se comporter avec ses pairs et le manque d'amours maternelle commencait a se faire sentir. Comment pouvait-il donner de l'amour s'il n'en avait jamais recu ? Pendant des heures il s'isolait au plus profond de son âme. Il se donna un élan et galopa avec fougue, ses geste étaient violant, presque alarmant. La tristesse semblait avoir quitter ses prunelles noisettes, sa robe pie alezan brillait sous les rayons de la lune, les naseau dilater, sa courte queue fouttait l'air et ses sabots labouraient la terre a chaqu'un de ses pas. Ses yeux se fixaient involontairement sur les Menhirs des anciens, le temps paraissait arrêté. Il rabaissa ses postérieurs sous lui et glissa sur quelques centimères. Une odeur inconnu flotta jusqu'a ses narines rosé. Curieux, il arpenta les lieux sur la défensive avant de croisé le regard d'un équidé, un mâle en déduit-il. Raise le détailla sans empressement, son regard était vide, il n'était plus que l'ombre de lui même... une épave... «Raiser Dream.» Deux simples mots pas plus ne franchir ses lèvres pâle. Ses muscles tremblaient, a cause d'un effort trop violant, mais sa il s'en foutait royalement, de toute façons, rien ne le retenait ici.

La fine silhouette s’avéra rapidement être celle d’un jeune poulain, oui bien jeune, 3, 4 mois tout au plus. Les regards se croisèrent, vide. Puis de petits mots brisèrent le silence, puis résonnèrent au milieu des menhirs tel un écho en fuite. L’étalon en déduit bien que rapidement que c’est mot désignèrent le poulain, son nom : «Raiser Dream » L’étalon laissa passer plusieurs secondes soutenant le regard du poulain, avant de se relever et de lui faire face, il le dévisagea ensuite quelque secondes avant de se redresser. Dans ce poulain encore complètement inconnu a ses yeux, une part de lui-même se reconnaissait. Lui il ya plusieurs année de cela. Un poulain désorienté en manque. Manque de tout. Et qui avec le temps a su mettre de coté toute émotions apparentes, a ce crée un masque complètement limpide qu’il a su toute sa misérable vie du monde extérieur, des autres, qui la bien sauver maintes et maintes fois. Un masque qui désormais c’est ancré en lui, qu’il ne peu désormais plus se détaché, et qui par ailleurs a fait ce qu’il est devenu aujourd’hui. Un être qui enchaine les reproches, les remarques que l’on puis lui assainir, un être impassible, un solitaire, taillé par le temps, que rien ne fait frémir. Rien… Oui ce poulain lui rappelait son enfance encore insoucieuse, et innocente, plus cela dans ces attitudes même cette posture qui semble montré qu’il na peur de rien, un corps en manque, sans doute une futur ombre. Upward le fixa du regard puis sa voix froide raisonna à son tour au milieu des menhirs. « Que fait tu ici seul et en pleine nuit petit insouciant ? » Son regard resta fixer au plus loin dans celui du poulain pie, attendant a la fois une réponse et une quelconque marque de peur qui ferait sans doute tressaillir Raiser, car ainsi se prénommé t’il ?

La lune brillait et faisait resortir la robe du poulain, la douce brise caressait sa robe et sa courte crinière volait au rythme du vent. « Que fait tu ici seul et en pleine nuit petit insouciant ? » Raiser Dream, porta son attention sur le grand mâle, il n'avait pas compris le mots ''insouciant'', il avait tellement eux peu de contact avec les autres de son espèce, que beaucoup de mots encore restait incompris. A chaque fois qu'il voyait une mère et son petit son coeur se serra, il ne comprenait pas pourquoi les autres avait le droit d'avoir une mère et pas lui... Il se rapellait que trop bien le moment de sa naissance, c'est ce jour là que la sollitude était devenue sa seule amie. Les premiers jours de vie avait été les plus dur, une vieille jument l'avait recueillit quelques temps, mais c'était un échange de service, il lui tenait compagnie et elle le nourrissait, aucune vrai relation fils-mère. Sa ''vieille jument'' était malheuresement disparu quelques semaines plus tard. Il ne s'en portait pas plus mal, il était un abandonner de tous et le resterait jusqu'a la fin. Raiser aimait s'imaginer une mère, mais celle qu'il se créait ne comblait pas tous ses besoins. Dans ses yeux, on pouvait lire l'appel a l'aide silencieux. Comment pouvait-il donner de l'amour s'il n'en avait jamais reçu ? Comment savoir se comporter avec ceux de son âge qui n'était pas dans la même situation que lui ? Il était devenu un fantôme, mais ce n'était pas encore irréparable, pour l'instant. Il ne savait comment exprimé ses émotions, la peur, l'amour et l'amitié il n'en connaissait que les mots, pas le sens. Il retourna toute son attention sur l'alezan. « La nuit n'appartient a personne, je vais là ou je suis» Dit-il sans méchanceté. Il s'approcha d'une des pierres et appuya son nez dessu, elle était encore tiède. Le pie ferma les yeux et souffla sur la roche avant de se reculer. Le silence s'intalla, le petit plongea son regard dans celui du mâle alezan.