Aller, entre dans la dance- PV

Pv
Like Minds

La plaine verdoyante était de toute beauté cette après-midi là, les oiseaux chantaient leur douce mélodie a qui voulait bien entendre, aucun nuage ne venait perturber le ciel azur, la brise soufflait avec délicatesse et le soleil réchauffait végétaux et animaux. L'été touchait a sa fin, l'hiver arrivait. Les premiers signes étaient aparue lentement, mais cela faisait toute la différence. Les nuits était plus fraîche, les jours étaient plus cours et les feuilles commencaient lentement a perde leur couleurs satiné, or la saison était loin d'être terminer ! Pour plusieurs, la saison hivernale étaient une première, tandis que d'autre ne pouvaient plus les compter sur le bout de leurs sabots. Pour lui aussi c'était tous était nouveau, il perdait peut a peut son poils de bébé, malgrès tous, son innoncence ne l'avait pas quitter, il explorait le monde avec des yeux émerveiller. Il n'avait pas toujours été comme ça, les circonstance de sa naissance le perturbait encore, surtous depuis qu'il avait remarquer que plusieurs avaient une mère et pas lui... Raiser Dream huma l'air avant d'éffectuer quelques sauts de montons bien calculé. Pour lui, vivre sans avoir quelqu'un pour lui apprendre était difficile, plus d'une fois il s'était mis les pieds dans les plats, mais il avait retenu sa leçons. Il piqua a galop, son regard embrasait la plaine, jamais il n'avait vue pareille endroit. Devant lui, une drôle de créature se promenait en bondissant, son pelage était gris et ses oreilles immense. Intriguer Raise s'arrêta en glissant maladroitement, a distance respectable de la créature.
«Hello ! Je suis Raiser Dream et toi ?» Son regard noisette fixait intensément le rongeur. « As-tu peur ? C'est quoi ton nom?» Le lapin attrappa une bouchée d'herbe sans un regard pour le poulain pie. « Bon, alors Grandes Oreilles, sa te dirais de faire une course ?» Le mâle se rapprocha, pourquoi ''Grandes Oreilles'' ne lui répondait-il pas ? Le jeune Kappa soupira. Il s'ennuyait et plus le temps passait, plus le pie se disait que personne ne se préoccupait de lui. Une petite goutte salé coula le long de son chanfrein avant de s'écraser sur le sol, oui, la vie était incopréhensible. Il se laissa tomber au sol et laissa la nostalgie l'envahir. De quoi pouvait-il rêver ? Il n'avait jamais connu mieux, a vrai dire, il n'avait jamais vraiment vécu. Un frisson parcourus sa robe soyeuse. Le soleil déclinait a l'horizon et le temps se rafraîchissait, mais Raise s'en moquait, ou serait-il allé de toute façons ? Mama...pensa-t-il, son nom si doux et si tendre n'avait encore jamais franchi ses lèvres rosé... Il souffla doucement sur l'herbe humide et tourna ses yeux vers le ciel sombre, la nuit approchait. Une odeur inconnue flottait dans l'air. Sentant la menace proche, Raise se releva d'un bond et entra en colision. Sonner, il plongea ses prunelles dans celle de...

Le soleil était bien présent, ce jour là. Il réchauffait les corps de quiconque allait s'y prélasser. Le temps était fort agréable, car une brise légère faisait en sorte que la chaleur ne soit pas trop accablante pour tout le monde. Un étalon aux crins d'argent et à la robe d'or était perché sur une espèce de colline. Son regard défiait l'horizon. Il inspira fort et ferma les paupières, l'air de la nature entrant comme un torrent dans ses poumons, dévastant tout ce qu'il y avait de néfaste dans son corps. Il se sentait libre, et heureux. Il était encore plus calme et posé qu'avant, car il s'était stabilisé dans un monde beau et pleins de magie. Où les découvertes étaient sans cesse plus merveilleuses les unes que les autres. Non, Like Minds n'avait vraiment pas à se plaindre. Ses paupières se rouvrirent doucement, et il caressa le paysage de son regard pleins d'étoiles. Une immense plaine verdoyante s'étendait à perte de vue, l'herbe semblait haute et grasse et la brise qui flottait dans l'atmosphère faisait onduler les hautes herbes. Le cœur de l'étalon tambourina avec force dans sa poitrine, il ne l'avouerait jamais, mais tant de magnificence réussissait à l'émouvoir. Il se mit en marche, descendit la colline, pour pouvoir goûter aux milles parfums qu'offraient cette étendue de verdure infinie. Soudainement, il se mit à galoper. Vite, très vite. Oui, ce cheval avait toujours eut le cœur au bord d'une falaise et la conscience dans les bras de la lune. Et il aimait cela, cette sensation d'avoir un esprit et une imagination qui n'avaient aucunes limites. Ses foulées s'agrandissaient un peu plus, son encolure était étendue, il pouvait presque effleurer l'herbe de ses naseaux de velours. Il goûtait la sensation de liberté avec plaisir. Rien ne pouvait être plus plaisant, en cet instant. Il était grisé par toute cette vitesse, cette beauté et ces instants magiques. À peine essoufflé il repassa au pas. Un pas actif et déterminé. Puis arriva quelque chose au niveau de son poitrail, avec un peu de force, tout de même. Le souffle coupé, Like Minds expira avec force puis baissa les yeux vers ce qui l'avait percuté. Se tenait au niveau de ses membres, un poulain pie alezan, dont les yeux noisettes dévoraient les prunelles de l'étalon palomino. Ce dernier baissa la tête, et d'une voix douce, il lui murmura :

« Tout va bien, petit ? »

C'était la toute première fois qu'un adulte lui adressait la parole, il ne fallait pas oublier que la situation était particulière. Ses yeux trahissait la suprise. L'étalon devant lui avait la robe doré et semblait avoir la crinière soyeuse. Le petit n'avait jamais eu de contact avec ses semblables, il ne savait donc pas comment réagir. Peut-être que l'absence de ses géniteurs et d'amour l'avait profondément troubler... Plusieurs fois il avait regarder les mères et leur poulains avec un pincement de coeur. Ses yeux se voilèrent, comme il se sentait seul sur cette terres densément peupler ! Même au milieu de la foule il se sentait a part. Le jeune mâle recula de quelques pas, confus. Pourquoi a chaque fois qu'il faisait un pas vers quelqu'un, l'autre l'igniorait ? Comme monsieur Longues Zoreilles ? Et pourquoi l'étalon lui adressait la parole ? Pourquoi, pourquoi, pourquoi ? Tant de questions sans réponse... La vie équine était elle-même une question.Des sentiments contradictoire se bousculaient en lui. « Tout va bien, petit ? » Il sursauta en entendant la voix du palomino, mais leva malgrès tous les yeux vers lui. Il avait prononcer ses paroles avec douceur, or le jeune ne comprenait pas. «Je... Je... sa va...» Il se balanca sur ses pattes et releva la tête, il y avait encore dans l'air une odeur inconnu, pas celle du blond, non, une autre... a peine perpectible. « Vous... Vous êtes qui ?» Une idée germa dans sa tête, et si l'étalon était son père ? Il balaya cette idée qu'il jugea stupide et secoua sa courte crinière immaculée, soudainement intéresser par l'individu. «Je suis Raiser Dream, connaissez-vous mes parents ?» dit-il dans un souffle. La question était sortie toute seule. «Désoler, je ne suis pas habituer a être avec les autres... Si vous vous en allé, je vais comprendre» Raise était franc, ses deux yeux regardait directement l'autre équidé.

Il avait ce regard perdu. Le regard d'un être en manque d'amour, un être qui avait tout perdu avant même d'être grand. Et même si Like Minds n'était pas un étalon au grand cœur, il éprouvait tout de même un peu de peine pour ce petit pie alezan. Ce dernier balbutiait, ses mots percutant les autres mots. Les phrases se succédaient rapidement. Il lui demanda même s'il connaissait ses parents. À cette question étrange, le palomino dressa une oreille, surpris. C'était quelque chose qui était complètement impossible à savoir. Les yeux de Raiser Dream ( car c'était comme ça qu'il s’appelait ) le transperçaient. Like frissonna, puis décida de répondre, il approcha doucement ses naseaux du petit.

« Je me nomme Like Minds. Non, je ne connais malheureusement pas tes parents. Pourquoi je m'en irais ?.. »

Lui murmura-t-il. C'était assez triste de voir des gamins si jeunes et déjà sans famille. Il n'était pas difficile de voir à quelque point ce petit là était perdu. Like Minds poussa un long soupir. Pauvre petit.

( Désolée, c'est vraiment court. )

(Pas grave ^^ J'ai pas fais mieux alien

)

« Je me nomme Like Minds. Non, je ne connais malheureusement pas tes parents. Pourquoi je m'en irais ?.. » Le petit frissonna sentant les naseux du blond prêt du siens, doucement le petit Raiser Dream tendit le cou coula son museau contre celui de Like Minds et ferma les yeux avant de se reculer un peu, un peu gêner. Il s'était laisser emporter sans réfléchir a un geste qu'il n'avait jamais encore commis. Le palomino ne connaissait pas ses parents, logique, car même lui ne les connaissait pas ! Il répima une envie soudaine d'éclater en sanglots. Il était incapable de donner de l'amour, il ne savait pas comment en donner puisque lui-même n'en avait jamais reçus. Ses membres tremblaient, il leva des petits yeux chocolat presque implorant vers l'étalon, il ne réalisait pas encore a quel point il avait besoin d'aide. « Sa fait lontemps que vous êtes ici ? Moi, je viens d'arriver... Je suis parti quand...» Il resta silencieux perdu dans ses penser, Raiser Dream se rapellait trop clairement du jours de sa naissance, il était né seul et allait surment mourrir seul, il était damné. Pourrait-il un jour être heureux, comme ceux de son âge ? Il en doutait. « La plupart des chevaux que j'ai croisé en venant ici, m'ont fuis. Je suis habituer maintenant, même ma... mère n'a pas attendu que j'ouvre les yeux pour disparaitre. Je suis maudit.» Raise soupira et observa attentivement les alentours.